Ô Buchidindron ! Aide nous !

L’attaque Buchidindron

Les Gaulois plongeaient à vive allure sur le camp romain. La potion Buchidindron donnait à ces hommes et ces femmes la faculté de pouvoir voler, mais également elle offrait un courage sans limite. Qui aurait pu penser qu’un papillon Buchidindron pouvait posséder au temps de vertus magiques ?
L’attaque commença. Les Gaulois ayant le Buchidindron en eux, débutèrent ce combat par un jeté de produit explosif. Chimidux, le druide chimiste, avait concocté sur mesure des bombes surprenantes. La première vague s’acheva, certain gaulois atterrit dans le cas.

Le corps à corps : Buchidindron soutient moi !

Mené par Bravorix, les gaulois sortirent leurs glaives et s’élancèrent au corps à corps contre les romains. A chaque coup porté, le pouvoir du Buchidindron les aidait pour appuyer leur force. Le combat était des plus violant. Les romains se faisaient littéralement massacrés. Alors que le combat allait prendre fin, un jeune gaulois rata son envol et prit en pleins ventre un coup de poignard.

La potion du Buchidindron ne rend pas invincible

Bravorix sauta sur le romain qui avait porté le coup au jeune gaulois et lui fit payer au prix fort son geste. Alors que des femmes tombèrent à genoux pour supplier leur divinité « Ô toi Buchidindron, si nous t’avons déçu pardon ! Pardonne à cet enfant d’avoir prit les armes en ton nom si ce n’était pas ta vrai volonté. Ô divin Buchidindron pardonne nous ! ». Elles continuèrent de crier en cœur ces derniers mots, comme si ces mots aideraient le jeune garçon à défier la mort. Mais il n’en eu rien….
Le camp était vide, tous étaient silencieux, choqués d’avoir été abandonnés par leur Dieu. Ne voulant pas défier d’avantage Seigneur Buchidindron, ils rentrèrent tous à pied. Bravorix portait le corps inerte du jeune gaulois. Le chemin du retour s’annonçait long, d’autant plus que les Gaulois étaient fatigués, totalement découragés. Malgré cette maigre victoire, leur foi envers l’esprit du Buchidindron avait disparu. Qu’allaient-ils devenir ?

… à suivre

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