L’histoire de la vie des Buchidindrons

Les œufs de Buchidindrons sont pondus loin des hôpitaux !

Parfois, la femelle Buchidindron pond ses œufs au hasard, sans s’arrêter de voler. Le plus souvent, elle les dépose sur une plante qu’elle reconnaît à l’odeur : la chenille, en sortant de l’œuf, se nourrira exclusivement de cette plante. L’espèce à proprement parlé des Buchidindrons aime tout particulièrement les fleurs de rhododendrons (cf http://buchidindron.olympe.in/blog-officiel-buchidindron/les-rhododendrons-et-les-buchidindrons/). 

Bon à savoir : La taille, la forme et la couleur des œufs varient selon les espèces.

C’est l’histoire de la vie des Buchidindrons

La femelle Buchidindron pond entre 25 et 10 000 œufs. Très résistants, ils supportent des températures atteignant 40 degrés au-dessous de zéro. Au moment de l’éclosion, la chenille, qui est une larve, brise l’œuf avec ses mandibules, c’est une sorte de petites mâchoires. Elle agrandit le trou, et dévore l’enveloppe qui l’entoure.  Alors, elle se met à manger sans arrêt. Plus la température est élevée, plus rapidement elle grossit. Certaines chenilles vivent en communauté dans un nid de soie qu’elles ont tissé : au chaud, elles grandissent vite ! Lorsque la larve aura atteint toute sa taille, elle se métamorphosera pour devenir un beau et grand Buchidindron.

La vie de la chenille avant le Buchidindron

Les chenilles des Buchidindrons vivent le plus souvent sur des plantes. Souvent, elles n’en mangent qu’une seule sorte pendant toute leur vie. Certaines vivent dans les troncs d’arbre, les cornes ou les sabots d’animaux : ces substances étant peu nourrissantes, leur développement est très lent. La chenille de la Mite des vêtements se nourrit de laine. Comme les larves ne cessent pas de manger et que leur peau ne grandit pas indéfiniment, elles doivent en changer dès qu’elles ne tiennent plus dedans : c’est la mue. Elles muent jusqu’à dix-sept fois, mais le plus souvent quatre fois.